Générateur de cadavre exquis

Connaissez-vous l'exercice d'écriture du cadavre exquis ? Il s'agit de composer un texte à plusieurs, en s'appuyant sur la dernière phrase écrite par la personne avant vous. Pour jouer, il vous suffit d'écrire un petit paragraphe, avec une ponctuation classique. (pas de doubles ?? ou ... s'il vous plaît) et votre texte sera ajouté à la dernière entrée, jusqu'à former une histoire... plus ou moins cohérente !

Dernier cadavre composé :

Il était un petit navire. Qui n'avait ja-ja-jamais navigué. Ohé ! Ohé ? Il était un petit navire. Qui n'avait ja-ja-jamais navigué. Ohé ! Ohé ? Cette dernière trace de la civilisation nus ayant précédé a été, après maintes disputes, traduit comme "Ô Hé", prière à une déesse primordiale. Voilà pourquoi notre planète se nomme Hécate. Avions nous la clé pour le monde des morts ? Cela demeurait un mystère qu'il nous faudrait résoudre ensemble. Famille trouvée, choisie, souvent éparpillée, nous nous retrouverons à chaque tournant de siècle. Ensemble, dysfonctionnels, aimants et étourdis, nous ouvrirons cette porte d'outre-tombe quiA nous deux, étrange mascotte horrifique ! Il est vrai que je n'ai pas la carrure d'un rugbyman, mais mes années de Kung Fu allaient enfin pouvoir porter leurs fruits. Je ne savais pas encore que les choses ne se passent jamais comme prévu. Oh non, jamais. Elle se mit immédiatement en garde, prêteLa garde dura 326 ans. Les soldats naquirent sur les remparts, y connurent le gel et la tempête, y moururent. Leurs enfants après eux vinrent se dresser contre un ennemi sans visage, que personne de mémoire de femme, n'avait jamais aperçu. Seule la Reine croyait à l'existence de cet ennemi et, pour cette raison, la garde ne devait jamais finir. Bien qu’elle sut s’entourer d’alliés de confiance, il n’etait point sans ressources. Il fut bientôt de notoriété publique que l’ennemi était déjà infiltré au sein du château.

Voici la dernière phrase de la contribution de l'utilisateur qui est passé avant vous. A partir d'elle, composez la suite de l'histoire.

", heureusement qu'il s'agissait d'une espèce de scorpsychion dont la piqûre, si douloureuse qu'elle soit, ne provoque qu'un délire hallucinatoire modéré et momentané (si l'on excepte les résurgences lors de grosses chaleurs)!"

Stylo